La part des OGM dans l’agriculture en baisse ou en croissance ?

Au niveau international, jusqu’à l’heure où on parle, l’utilisation des OGM (Organisme Génétiquement Modifié) concerne majoritairement les pays du continent américain, le classement par production, Etats-Unis, Brésil, Argentine, et d’autre la Chine, Inde et Afrique du sud tandis que pour le continent Européen n’est presque pas touché par l’agriculture transgénique. Les productions impactées sont celles du soja, mais, coton et colza destinés pour l’exportation, les terres dans les pays en voie de développement cités ci-dessous, sont exploitées par des entreprises multinationales. Face à cette situation, un organisme se charge de l’étude des surfaces où l’OGM  est cultivé, l’ISAAA (Service international pour l’acquisition d’applications agricoles biotechnologiques), selon ce dernier un fort accroissement est en vu dans les années à venir, autant vous donnez les chiffres en hectare durant les trois années successifs, 1.7 millions en 1996 pendant le première commercialisation, 175.2 millions en 2013 et une année après 181.5 millions, à cette dynamisme, on ne peut envisager une baisse, dans les 28 pays recensés 18 millions d’agriculteurs pratique l’OGM et ont confirmé qu’il vont poursuivre.

Le retour à l’agriculture biologique en France

Pour l’Union Européenne, des débats publics ont donné suite à la mise en place des conditions restrictives, selon l’inf’OGM, la production transgénique touche seulement 0.1% de la surface agricole disponible dans l’ensemble des 28 Etas membres. La France se bat sans cesse pour la sauvegarde de l’agriculture biologique, sensibilise les paysans par le biais des organismes, que l’écologie repose sur la biodiversité, la protection des terres, des eaux et climat en dépend, que l’OGM est un facteur destructeur de l’environnement par l’intermédiaire des produits chimiques qu’il abrite. Seul l’Espagne le pratique à grande échelle pendant que l’Allemagne et la Suède a aboli la culture des OGM.